Joshua Kheel, photographe et humain normal (pour l'instant)
{ The New Face of Madness
Dis-moi, mon garçon, comment est ta ville ? La mienne est chaude et fiévreuse comme une petite fille malade. Il y a toujours quelque chose qui brûle, dans ma ville, quelqu’un qui a mal…Veux tu que je te raconte l’histoire d’un garçon de ma ville ?
IDENTITE
{Nom : Kheel
(Est un nom d’emprunt, il prétend avoir un jour égaré ses papiers et avec eux le souvenir de son véritable patronyme mais ceux qui ne sont pas idiots flaireront de très loin son dégoût imminent pour tout ce qui vient de son « papa »).
{Prénom : Joshua
{Surnom: Jo (on peut saluer l’originalité des potes qui ont trouvé le diminutif) ou moins communément Mr J qui lui sert aussi d’enseigne’.
Humain (à ses risques et périls) {Age : 23 ans
{Dons : Agace les gens plus vite que son ombre. Bon photographe.
{Résidence : Forks
BIOGRAPHIE :
[i](Je suis vraiment, sincèrement désolé pour la longueur du récit. Je vous jure que j’ai essayé de la raccourcir mais ça n’a pas marché comme je le voulais. J’ai fais en sorte de rester le plus possible en accord avec l’univers de Twilight, l’orthographe est p’t’être pas parfaite mais j’essaye que ça passe bien. A lire en diagonale donc. Je sais qu’on à faire pire mais quand même, ça m’énerve moi aussi. Enfin, un mot de vous et je refais tout^^ en plus petit).
Il s’appelait Joshua. Et son meilleur et inséparable ami d’enfance, Tristan.
A l’époque de leurs études, Joshua se révéla être aussi un fin tombeur et il ne se passait jamais beaucoup de temps sans qu’il est de petites amies. Il ne les aimait jamais de cet amour si pur et si innocent que l’on décrivait dans les livres, les sentiments dégoulinants ne l’inspiraient pas. Déjà, il prenait des photos et collectionnait les portraits (plus ou moins sensuels, convenons en) de ses prises. Il les choisissait très jolie et surtout très idiotes. Moins elle pensait, mieux c’était. Tristan, lui moins volage, préféra attendre le bon train et la bonne heure. Les histoires d’adolescent n’ont d’ordinaires aucune importances et Joshua considérait d’ailleurs ses ébats comme infimes. Maintes fois, ses beautés s’étaient révélées plus intelligentes qu’elles en avaient l’air et s’étaient en allées après une gifle et un « enfoiré ! » acide. Parce qu’une fois les quelques clichés pris et les quelques nuits passées, il se lassait. Pauvre gosse et sa misère d’humain superficiel. Aucune fille ne partageraient jamais sa passion pour l’art de l’image et personne n’était capable de le comprendre (en tout cas, tout les ados passent par cette étape avant de piger qu’ils n’ont rien de si extraordinaire). Sauf Tristan, mais il ne faisait que le taquiner, envisager une relation avec son meilleur ami n’était absolument pas de son goût.
Puis elle arriva. La beigne, la perfection et l’amour des littéraires. Tout de suite, Joshua la détesta. Sous l’apparence d’une brunette aux longs cheveux noirs et aux lèvres charnus, aux yeux si profonds qu’on si perdait et au corps si parfait qu’un peintre mourrait sur son chevalet en voulant le mettre sur toile, l’amour lui vola Tristan. Jaloux comme une mégère, Joshua pariait vilainement qu’il ne donnait pas deux jours à la nouvelle madame Tristan. Mais elle dura longtemps au contraire. Tristan était toujours aussi attentif à ses explosions artistiques mais il ne répondait plus toujours au téléphone ni n’accourait quand Joshua lui demandait (ordonnait) de se pointer. Elle était belle, la Juliette, elle était merveilleuse et gentille avec Joshua, mais il détestait que cette garce soit devenu la priorité de son pote, c’était moche triste et ça lui sapait l’inspiration. Il devint un célibataire, lui tombeur, parce que les autres filles ne lui faisaient plus d’effet, il n’aimait plus les filles ni les garçons, il voulait juste que son inspiration revienne. Il voulait qu’on lui rende son conseiller. L’imbécile qu’il était mit longtemps à comprendre.
Oh ! Comme c’était irritant de les voir enlacer, la main de Tristan dans le dos de sa belle, lèvres contre lèvres. Joshua était obligé d’aller en boîte tout seul et dans sa fierté de mâle, il y allait mais s’y emmerdait ferme. Ah ! Comme c’était agaçant d’être à court d’idées pour faire perdurer son album photo. Plus rien ne lui inspirait rien.
-Dîtes, ça vous gênerait que je prenne deux ou trois photos d’vous, mes agneaux ? Vous êtes si meugnoon.
Même s’il en profitait pour se foutre de leur gueules d’angelots cupidonnés, il en avait vraiment envie. Tristan repoussa l’offre, des photos de couple ne le branchait pas et ce week-end il allait on ne sait plus où avec son frangin. Juliette était libre.
-Je te la laisse, elle est entre de bonnes mains ! plaisanta une dernière fois Tristan le confiant.
Rire de l’objet du délit.
-Oui, oui, je ferais des portraits de fille seule comme d’hab. Passes chez moi samedi alors, Juliette.
L’obsession fait des merveilles. Il fit les plus beaux clichés de sa vie.
-Et bien, jeune homme, on ne peut pas vous reprocher votre bon goût.
-Mmh ?
-Toutes les demoiselles sur ton mur, elles ont la grâce des tanagras.
-Ce qui veut dire ?
-Elles sont bien roulées.
-Je sais. Je les retouche sur Photoshop et je les choisis aux mensurations.
-Oui, Tristan m’a dit que tu n’étais pas l’homme d’une seule femme^^. Tu es un Dom Juan.
-Et ça te gênerait parler normalement ? C’est quoi donjeuan ?
-Et ça te gênerait d’être poli, môssieur le spécialiste.
Comment Tristan faisait pour aimer une créature comme ça ? Elle était canon mais elle avait trop de réparti. Par contre il s’amusa de sa culture. Elle nommait les grands auteurs des superbes copies de photos qui ornait sa chambre alors que ce n’était pas un art à noms et avait apparemment vu tout les films qu’il possédait (et dieu sait qu’il en possédait un certain nombre). Dieu savait pourquoi, elle le pria d’ouvrir la fenêtre de sa chambre lorsqu’ils s’y retrouvèrent. Mais qu’importe, lui aussi avait des manies.
Elle soupira mais ne s’offusqua pas quand il la pria d’adopter des postures plus sexy. Elle était docile et émettait même des idées pour mieux mettre en valeur tel ou tel chose, son savoir vint à bout de la mauvaise foi de Joshua. Lorsqu’il éclata de rire, elle sourit, comme si c’était son but depuis le début, de briser son armure de glace. Il s’assied à côté d’elle et prit une photo d’eux en tenant l’appareil à bout de bras. Partant dans un grand éclat de rire, elle le complimenta sur son humour. « T’es mieux au naturel, comme ça, jeune homme ».
Il l’embrassa. Il l’aima. Elle aussi. Mais ses mains tremblaient, elle prit une bouffée d’air et il sentit ses dents effleurer sa nuque comme si elle avait voulu le mordre avant de retomber, libre et sienne, dans un soupir. Il trouva ça étrange, elle s’était comme retenu de lui planter les crocs dans l’épaule. Mais il ne s’y attarda pas. Elle passa la nuit chez lui, et presque le weekend end entier.
Deux semaines plus tard, Tristan disparaissait de la circulation. Elle savait où il se planquait les miches, c’était une certitude. Elle savait pourquoi cette salope mais elle préférait le fuir. Elle l’évitait comme la peste. Joshua savait que certaines filles (les plus emmerdantes : celles qui sont vraiment amoureuses) s’en voulaient toujours d’avoir trompé leur mec. Personnellement elle était canon mais plus ça allait plus elle lui faisait peur. Elle était…glauque, y a que ce mot.
Trois jours se sont écoulés sans qu’on est de nouvelle du disparu, Joshua voyait son acte plus comme une petite vengeance, le malaise qui était celui de la jeune fille l’amusait, mais il aimait toujours Tristan comme l’ami qu’il avait été.
Le dernier soir, il s’apprêtait à quitter son appartement quand une silhouette humaine sans l’être lui bondit dessus. Il faisait noir, il mit environ 2,6 secondes à reconnaître son vieux copain. Dans la clarté de la lune, il paraissait plus beau qu’avant. Ses cheveux, une épaisse tignasse brune, avaient laissés la place à des fils sombres impeccables. L’attaque lui percuta le flanc et il fut projeté contre le mur avoisinant. Quelques insultes fusèrent à son encontre. Sa mâchoire était en miette, du sang coulait sur son front et nous ne parlerons pas de l’état de son bassin et de toute la partie qui à reçu le coup initial. Alors qu’il s’apprêtait à en recevoir un second (le coup de grâce aussi de toute évidence, il n’était pas forgé pour lutter contre un taré à la force du sumo et la précision du catcheur), une seconde ombre se glissa devant lui en position de défense. Il la reconnu directement, c’était la fille, c’était Juliette. Elle bondit sur Tristan et une bataille s’engagea entre les deux monstruosités (elle aussi avait visiblement hérité du pouvoir de Hulk, ce qui ne l’empêchait pas d’être sexy). Sa voix déformée par la rage parvint aux oreilles de Joshua et lui hurlait de s’enfuir, de foutre le camp, de lever les voiles tout de suite et très loin. Elle retiendrait l’autre barbare. Pas besoin d’être devin pour comprendre que Tristan avait su que pendant une nuit Joshua avait profité des douceurs de sa dulcinée. Joshua obéit pour une fois.
Sachez que conduire une camionnette quand on est à peu près dans le même état qu’un chien écrasé est très difficile. On retrouva le garçon sous le choc allongé dans l’herbe à côté du véhicule. Il fut mené en hôpital mais pire que son corps, son esprit avait vécu un véritable traumatisme. Son cerveau aura été quelque peu endommagé par son mauvais coup mais ce qu’avait vu ses yeux, nul ne pouvait le comprendre. Le journal lui annonça dans la semaine qui suivait qu’on avait retrouvé et identifié les corps de deux adolescents mutilés dans la ruelle de son agression. Probablement l’œuvre d’un psychopathe. C’est ça ouais, ou d’une sorte de grosse bestiole. Ils s’étaient entretués oui ! Mais qu’importe, qu’importe. Joshua eu besoin de soin psychiatrique (et il devrait théoriquement toujours être suivi). Quelques mois en hôpital lui furent administrés mais, ne se sentant pas l’étoffe d’un fou, il ne s’éternisa pas.
Encore étudiant, il bataille comme le pauvre fou qu’il est pour exaucer son rêve, devenir photographe. Et il y parvient lentement mais sûrement puisque sa boutique s’est ouverte il y a de ça une semaine dans Forks.
SITUATION CARACTERIELLECaractère Fin, malin et râleur avec un attrait pour la théâtralité, Joshua se plaît dans une certaine modestie sans pour autant faire abstraction de la débauche et des déboires de l’existence. En deux mots, un sacré fêtards aussi. Sa joie de vivre est imperturbable et elle s’accompagne naturellement d’un petit élan de folie. Mais aujourd’hui adulte, il s’est approprié une sorte de philosophie bien que le mot maturité ne soit pas encore exactement bien à sa place. Les études n’ayant jamais été son fort, il se dépêche de clore bien vite ce chapitre. Amateur de la gente féminine, ses goûts pour les idiotes sexy ont légèrement chavirés et il s’est découvert une engeance pour les femmes à l’esprit plus ouvert. Rire est une de ses plus grandes passion et il ne fait ni d’une ni de deux pour faire également sourire son interlocuteur (à moins qu’il ne préfère le faire grimacer ou le faire fuir). Un garçon somme toute plutôt amer sans être si difficile qui vit la vie comme il l’entend et fait semblant d’oublier ce soir traumatisant ou deux créatures étranges lui ont bondit dessus. Son âme de savant lui dit que c’est impossible mais sans être romancier il y croit, dur comme fer, et tient aussi à trouver des réponses. Les cinq W.
Il affectionne aussi les langues anciennes et étrangères, les séries télé de bas niveau intellectuel, les beaux vêtements, le cinéma et la photo bien sûr, Alfred Hitchcock, les parfumeries, les grosses bagnoles, collectionne les armes à feux et les livres sur les créatures insolites et voue une fidélité peu commune à la mondanité.
But dans la vie : passer le restant de ses jours les doigts de pied en éventail.
Qualité et défauts : Modérément grognon et impulsif, son principal défaut est issu majoritairement de son cynisme et de cette ironie qui lui est si propre. Plutôt narcissique sans pour autant rejeter l’autodérision, il est prompt à se moquer de tout ce qui l’entoure et est en soit resté une sorte de grand gamin. Mais, à condition bien sûr d’accepter tout ceci, il est plutôt charmant, à un grand sens de l’accueil et de l’esthétique et aime volontiers rire, ayant prit en grippe les atmosphères trop tendues à son goût. Il peut malgré tout se montrer un appui précieux. Grand amateur de bons mots et de langues anciennes et étrangères, il sait les trouver, les mots, pour réconforter, secouer ou enfoncer. Fouineur de première classe, il chercher, il trouve. Tout ou presque. Hacker à ses heures perdues, il aime aussi être entouré et son cercle social est très large.
{ DESCRIPTION PHYSIQUE Signalement : Plutôt svelte, bien qu’ennemi plutôt appréciable au corps à corps (pour un humain normal, bien sûr), il se déplace la plupart du temps avec une béquille (oui, oui, je sais, comme le Dr House) bien que l’utilité de celle-ci est de plus en plus rare, sa blessure se remettant doucement. Une gestuelle saccadée et un physique soigné, des goûts vestimentaires peu reprochables, quelques cicatrices au niveau des joues et du torse ainsi qu’une fêlure très visible à la hanche, particulièrement souriant. Porte des gants noirs, démarche zigzagante et légère. Il voue une haine profonde aux fauteuils roulants (pas au gens qui sont dedans, jusque au fauteuil) parce que longtemps obligé à circuler dans un de ces satanés bolides. Visage très expressif, yeux et cheveux clairs.
OTHER{ Comment avez vous connu le forum ? : J'ai reçu un appel au secour de la part d'une jolie vampirette (j'ai mis quelques minutes avant de me sentir concerné) par mail.
{ Comment trouvez vous le forum ? J'en pense que le design est vraiment joli, que je ne peux pas dire grand chose quand à la cohérence puisque ma culture Twilight n'a pas prit plus d'ampleur depuis la dernière fois.
Code de validation : Ok bye Bella